Technical University of Denmark (DTU)

Deerns met son expertise au service du développement de la nanotechnologie danoise

Grâce à son expertise approfondie dans les secteurs des sciences de la vie et de l’électronique, Deerns a apporté un accompagnement complet à l’Université technique du Danemark (DTU), établissement de référence en matière de recherche en ingénierie et technologies.

La DTU a lancé la construction d’une nouvelle salle blanche de pointe pour DTU Nanolab, le Centre national danois de nanofabrication et de caractérisation. Située à proximité immédiate d’une salle blanche existante, cette nouvelle installation renforce les capacités de recherche du DTU Nanolab, notamment pour l’étude des futures générations de microprocesseurs à l’échelle nanométrique.

Solutions Deerns

Deerns a travaillé en étroite collaboration avec DTU Nanolab pour établir le cahier des charges des utilisateurs et les critères de conception. L’équipe a ensuite mené les phases de conception de principe et de conception de base, avant un processus de validation préalable à l’appel d’offres. La livraison du projet est prévue pour 2026. Le calendrier étant très serré, les travaux de terrassement ont été engagés en parallèle de la phase d’appel d’offres afin de respecter les délais.

Les principaux défis relevés grâce à l’expertise de Deerns :

• Assurer une grande flexibilité et anticiper les évolutions technologiques, pour que l’installation reste pertinente durant les 10 à 15 prochaines années.
• Concilier efficacité énergétique, exigences du marché et respect du budget du client.
• Mettre en œuvre des solutions de réduction des vibrations et de blindage électromagnétique pour garantir l’intégrité des activités de recherche.
• Limiter les risques de contamination par les particules en suspension et autres sources. Ce point est particulièrement complexe, car le transport des gaz et produits chimiques entre la nouvelle salle blanche et le bâtiment logistique traverse la salle blanche existante.
• Récupérer la chaleur pour l’utiliser dans les centrales de traitement d’air, et réutiliser l’eau de refroidissement des process à l’échelle du campus.

La réussite du projet dépend de la capacité à maintenir le bon fonctionnement des installations voisines pendant toute la durée du chantier. La proximité immédiate du Nanolab existant — en activité et particulièrement sensible aux vibrations et aux interférences électromagnétiques — constitue un enjeu majeur de complexité.